Codex Gigas
Les livres composant le Codex Gigas semblent avoir été écrits par un même auteur qui ne parle jamais de lui mais relate les événements comme s’il en avait été un témoin direct. Le but avoué de l’auteur est de proclamer la vérité, de dénoncer les mensonges des rois, des prêtres, des puissants, ceux des dieux, qui asservissent l’humanité comme toutes les créatures douées de conscience qu’elles soient dans le Monde, l’Inframonde ou même dans la Citée Céleste, clairement dénommée Axis Mundi.
L’Unique est décrit comme l’imposteur en chef, un être certes incroyablement puissant, aucunement omnipotent ou omniscient, qui ne cherche que le contrôle absolu par l’Ordre Ultime (Ultimus Ordo), la Stase, la fin de tout changement par l’abolition du temps et de la liberté. La victoire de l’Unique, dans laquelle tout serait lui et lui serait tout, est appelée Lux Æterna.
Pour l’auteur, tous les êtres vivants sont capables d’ascension, d’accéder à l’immortalité de la conscience car l’essence de la vie, l’âme, est indestructible. Cette ascension permet à chacun, peu à peu, d’apprendre à manipuler la réalité et ses différents aspects pour obtenir ce que les non-initiés appellent des pouvoirs magiques, extraordinaires, divins ou démoniaques. Les seules limites d’un être sont celles que les autres lui imposent. L’auteur affirme en fait que les hommes, les dieux et les démons, tout ce qui vit et pense dans l’univers, participent d’une même nature. Les dieux d’Axis Mundi ne sont que des parvenus ayant réussi à s’emparer de la position dominante et ils en ont profité pour exiler leurs opposants, déclarés ou potentiels, en fracturant la réalité et en créant de fait l’Inframonde.
Malgré les affirmations des religieux, tout n’est pas rose dans la Cité Céleste et les prétendus dieux luttent âprement les uns contre les autres pour leurs seules bénéfices, sans se soucier du devenir de leurs adorateurs, si ce n’est du pouvoir qu’ils peuvent en recevoir car les dieux se nourrissent des âmes de leurs fidèles qu’ils peuvent absorber à leur mort. Pour les dieux, le danger ne vient pas toujours d’un camp adverse, il arrive souvent qu’une divinité soit détrônée par un sous-fifre ayant ourdi sa propre ascension déicide. Si les noms des dieux changent depuis l’avènement de la Tour, ce n’est pas un hasard. Seul l’Unique apparait comme stable, toujours le plus retors. Elméüs se sent d’ailleurs désormais dans une telle position de force qu’il a commencé à se faire appeler officiellement l’Unique. Une véritable provocation pour tous les autres maîtres d’Axis Mundi mais il est trop tard, ils n’ont pas vu venir le danger, ils ne peuvent désormais plus l’arrêter.
L’humanité, parmi les innombrables peuples de l’univers, est celui qui menace le plus les desseins d’Elméüs et ce dernier a décidé de prendre des mesures radicales en éliminant les gêneurs. L’auteur appelle donc à une véritable rébellion contre l’Unique et ses serviteurs. Il indique que les hommes et femmes de bonne volonté ne sont pas seuls dans leur combat mais que des forces occultes luttent depuis des éons dans les ombres pour la liberté, contre les despotes de la Citée Céleste. L’auteur parle ainsi de « Celui qui Vient », le sauveur, la lumière qui surgit des ténèbres et qui apporte la libération. La guerre qui se mène en secret porte ses fruits et l’Etre de Lumière est proche de se révéler et de mener le combat final qui conduira à la destitution des usurpateurs. Les signes s’accumulent, d’ailleurs déjà les Diseuses de Vérité qui suivent la vraie voie ont reconnu la venue proche de l’Héliandre, d’où le schisme récent qui a déchiré l’ordre. Oui, cinq fois soit béni Celui qui Vient ! Avant la bataille finale, pour pouvoir passer dans notre monde, le Libérateur doit défaire les maitres des Abysses et des Enfers, la Pentarchie, l’alliance immonde des quatre Dieu Sombres et du Dieu Cornu. Ces entités ignobles sont les gardiens et maîtres de l’Inframonde, la prison qui retient tant d’âmes injustement bannies loin de la lumière. Celui qui Vient est l’élu de Nyx, connue en sainte langue d’Altaïr sous le nom de Nox, ou plus simplement Nuit en langage vulgaire mais dont l’Unique a fait effacer toutes les références. Cette divinité primordiale vivrait dans l’inframonde, dans un gouffre sans fond au-delà des Enfers et des Abysses. Suivant la Théogonie d'Hésiode, elle et son frère Érèbe (les Ténèbres) sont les premières divinités issues du Chaos primordial. Nyx aurait engendré nombre de divinités dont Les livres composant le Codex Gigas semblent avoir été écrits par un même auteur qui ne parle jamais de lui mais relate les événements comme s’il en avait été un témoin direct. Le but avoué de l’auteur est de proclamer la vérité, de dénoncer les mensonges des rois, des prêtres, des puissants, ceux des dieux, qui asservissent l’humanité comme toutes les créatures douées de conscience qu’elles soient dans le Monde, l’Inframonde ou même dans la Citée Céleste, clairement dénommée Axis Mundi. L’Unique est décrit comme l’imposteur en chef, un être certes incroyablement puissant, aucunement omnipotent ou omniscient, qui ne cherche que le contrôle absolu par l’Ordre Ultime (Ultimus Ordo), la Stase, la fin de tout changement par l’abolition du temps et de la liberté. La victoire de l’Unique, dans laquelle tout serait lui et lui serait tout, est appelée Lux Æterna. Pour l’auteur, tous les êtres vivants sont capables d’ascension, d’accéder à l’immortalité de la conscience car l’essence de la vie, l’âme, est indestructible. Cette ascension permet à chacun, peu à peu, d’apprendre à manipuler la réalité et ses différents aspects pour obtenir ce que les non-initiés appellent des pouvoirs magiques, extraordinaires, divins ou démoniaques. Les seules limites d’un être sont celles que les autres lui imposent. L’auteur affirme en fait que les hommes, les dieux et les démons, tout ce qui vit et pense dans l’univers, participent d’une même nature. Les dieux d’Axis Mundi ne sont que des parvenus ayant réussi à s’emparer de la position dominante et ils en ont profité pour exiler leurs opposants, déclarés ou potentiels, en fracturant la réalité et en créant de fait l’Inframonde. Malgré les affirmations des religieux, tout n’est pas rose dans la Citée Céleste et les prétendus dieux luttent âprement les uns contre les autres pour leurs seules bénéfices, sans se soucier du devenir de leurs adorateurs, si ce n’est du pouvoir qu’ils peuvent en recevoir car les dieux se nourrissent des âmes de leurs fidèles qu’ils peuvent absorber à leur mort. Pour les dieux, le danger ne vient pas toujours d’un camp adverse, il arrive souvent qu’une divinité soit détrônée par un sous-fifre ayant ourdi sa propre ascension déicide. Si les noms des dieux changent depuis l’avènement de la Tour, ce n’est pas un hasard. Seul l’Unique apparait comme stable, toujours le plus retors. Elméüs se sent d’ailleurs désormais dans une telle position de force qu’il a commencé à se faire appeler officiellement l’Unique. Une véritable provocation pour tous les autres maîtres d’Axis Mundi mais il est trop tard, ils n’ont pas vu venir le danger, ils ne peuvent désormais plus l’arrêter. L’humanité, parmi les innombrables peuples de l’univers, est celui qui menace le plus les desseins d’Elméüs et ce dernier a décidé de prendre des mesures radicales en éliminant les gêneurs. L’auteur appelle donc à une véritable rébellion contre l’Unique et ses serviteurs. Il indique que les hommes et femmes de bonne volonté ne sont pas seuls dans leur combat mais que des forces occultes luttent depuis des éons dans les ombres pour la liberté, contre les despotes de la Citée Céleste. L’auteur parle ainsi de « Celui qui Vient », le sauveur, la lumière qui surgit des ténèbres et qui apporte la libération. La guerre qui se mène en secret porte ses fruits et l’Etre de Lumière est proche de se révéler et de mener le combat final qui conduira à la destitution des usurpateurs. Les signes s’accumulent, d’ailleurs déjà les Diseuses de Vérité qui suivent la vraie voie ont reconnu la venue proche de l’Héliandre, d’où le schisme récent qui a déchiré l’ordre. Oui, cinq fois soit béni Celui qui Vient ! Avant la bataille finale, pour pouvoir passer dans notre monde, le Libérateur doit défaire les maitres des Abysses et des Enfers, la Pentarchie, l’alliance immonde des quatre Dieu Sombres et du Dieu Cornu. Ces entités ignobles sont les gardiens et maîtres de l’Inframonde, la prison qui retient tant d’âmes injustement bannies loin de la lumière. Celui qui Vient est l’élu de Nyx, connue en sainte langue d’Altaïr sous le nom de Nox, ou plus simplement Nuit en langage vulgaire mais dont l’Unique a fait effacer toutes les références. Cette divinité primordiale vivrait dans l’inframonde, dans un gouffre sans fond au-delà des Enfers et des Abysses. Suivant la Théogonie d'Hésiode, elle et son frère Érèbe (les Ténèbres) sont les premières divinités issues du Chaos primordial. Nyx aurait engendré nombre de divinités dont : Éther, Héméra, Charon, Épiphron, Éléos, Géras, Philotès, Momos, Apaté, Dolos, Moros, Oizys, Hypnos, Thanatos, les Hespérides, les Moires (Clotho, Lachésis, Aptropos), Némésis, les Érinyes, les Kères, Éris, Lyssa, Hécate, Styx, Adicie, Achlys, Phanès, les Oneiroi (Morphée, Icélos, Phantasos), Achlys, autant de divinités aujourd’hui devenues presque inconnues des hommes et rejetées dans les Abysses à la suite de la création du Labyrinthe. L’auteur exhorte le lecteur à vaincre ses peurs qui ne sont des sentiments instillés par les rois et les religieux au nom des dieux imposteurs que pour abaisser l’humanité, pour l’empêcher d’accomplir son potentiel d’ascension afin de devenir elle-même à l’égal des dieux. Il invite à rejoindre dans l’ombre l’armée des libres penseurs, de ceux qui travaillent à l’Apocalypse, c’est-à-dire à la Révélation, celle de Celui qui Porte la Lumière., autant de divinités aujourd’hui devenues presque inconnues des hommes et rejetées dans les Abysses à la suite de la création du Labyrinthe. L’auteur exhorte le lecteur à vaincre ses peurs qui ne sont des sentiments instillés par les rois et les religieux au nom des dieux imposteurs que pour abaisser l’humanité, pour l’empêcher d’accomplir son potentiel d’ascension afin de devenir elle-même à l’égal des dieux. Il invite à rejoindre dans l’ombre l’armée des libres penseurs, de ceux qui travaillent à l’Apocalypse, c’est-à-dire à la Révélation, celle de Celui qui Porte la Lumière.